La forme pronominale est une forme où le verbe se construit avec un pronom réfléchi (me, te, se, nous, vous, se) correspondant à la personne du sujet : s’écrier, se permettre, s’avouer, se rassembler, etc.
Le participe est un mode impersonnel (le verbe n’est pas conjugué à différentes personnes). Il comprend deux temps : le participe présent et le participe passé. Cet article se concentre sur le participe passé.
L’infinitif est l’un des deux modes présentant le verbe sous l’une de ses formes non conjuguées, l’autre mode étant le participe. Comme ces deux modes présentent souvent des similarités de son (homophonie : parler/parlé), la confusion entre les deux est souvent source de fautes.
Publié le
13 mai 2020
par
Agathe Costes.
Mis à jour le
25 septembre 2023.
Le conditionnel est connu pour exprimer une condition, un fait éventuel. Toutefois, ses emplois sont nombreux, à tel point que les spécialistes ne s’accordent pas complètement sur le fait qu’il soit un mode ou un temps.
Le présent de l’indicatif indique le plus souvent une action ou situation réelle, ou présentée comme telle, se déroulant au moment où le locuteur parle.
Le plus-que-parfait est un temps utilisé à l’indicatif et au subjonctif. Nous nous concentrons ici sur le plus-que-parfait de l’indicatif, formé avec l’auxiliaire être ou avoir à l’imparfait, suivi du participe passé du verbe conjugué.
Contrairement à ce que son nom indique, le passé simple n’est pas si simple. Ce temps de l’écrit a peu cours à l’oral, à tel point que de nombreux francophones hésitent quant à sa conjugaison !
Voici ci-dessous quelques exemples qui illustreront la difficulté à déclamer innocemment ce type de phrases tout en conversant…