Quelle est la taille de la partie « méthodologie » d’un article ?
Cette section est souvent la plus longue de l’article. Elle fait généralement 20 % de la taille du contenu mais peut s’étendre au delà, en fonction des éléments qu’elle comporte.
Cette section est souvent la plus longue de l’article. Elle fait généralement 20 % de la taille du contenu mais peut s’étendre au delà, en fonction des éléments qu’elle comporte.
Pour réaliser un compte-rendu scientifique, il est nécessaire de procéder par étapes :
Voici des méthodes qui permettent de décider de l’ordre d’apparition des signataires :
Un projet de recherche scientifique vise à présenter une proposition de recherche. Cette recherche pourra donner lieu à une ou des publications scientifiques (conférences, article scientifiques) qui seront ensuite rendues publiques.
La plupart du temps, cette initiative répond à une demande extérieure :
N’importe quel doctorant, chercheur ou même étudiant (plutôt en master) peut présenter un projet de recherche. Parfois, certaines conditions peuvent être établies par l’établissement qui lance l’appel à projets : par exemple, il existe certains projets où seuls les doctorants sont appelés à proposer une recherche.
Un projet de recherche se construit le plus tôt possible. Entre la date de publication d’une offre et la date limite de candidature s’écoule parfois peu de temps. Cette période peut s’étendre de 3 semaines à 3 mois.
Pour commencer son projet de recherche, il est important de procéder étapes par étapes. Que ce soit pour répondre à un appel à projets ou pour anticiper une recherche scientifique, nous vous conseillons de suivre ces 3 étapes :
Les éléments qu’il est important de trouver dans tout projet de recherche sont les suivants :
Un projet de recherche peut être construit suivant la structure introduction, développement et conclusion. Parfois, des modalités particulières de présentation sont imposées (formulaire à remplir, candidature en ligne, etc.)
Une revue de littérature est un texte qui rassemble, analyse et organise plusieurs articles ou contenus scientifiques afin de proposer une vue globale des avancées scientifiques d’un domaine.
La taille d’une revue de littérature dépend de la forme qu’elle prend. Elle peut prendre plusieurs formes :
Quand elle est une partie d’article de recherche, la revue de littérature est souvent placée en début d’article. Elle peut faire l’objet d’une sous-partie indépendante ou être intégrée à l’introduction.
Pour faire une revue de littérature, il est conseillé de suivre 3 étapes :
Un compte-rendu scientifique a pour objectif de décrire, d’expliquer et de commenter un ouvrage ou article scientifique. Cela permet de situer une étude scientifique : son contexte, son raisonnement, ses principales conclusions, etc. La plupart du temps, les compte-rendus portent sur des oeuvres récemment publiées.
La taille d’un compte-rendu de lecture scientifique est identique à celle d’un article de recherche (de 10 à 20 pages environ). Ce nombre de pages dépend aussi de la revue dans laquelle il sera publié : chaque revue possède ses propres règles et standards.
Le compte-rendu d’article ou d’ouvrage scientifique est souvent placé dans une section à part entière. Cette séparation entre articles de recherche et compte-rendus de lecture est assez courante : elle permet de mieux identifier les articles qui composent une revue.
Pour construire la signature, il faut réunir les informations qui la composeront, et les organiser :
Une revue scientifique est une revue publiée de manière régulière composée d’articles scientifiques écrits par des chercheurs et des doctorants. La plupart des revues scientifiques sont dirigées par un éditeur scientifique et possèdent un comité de relecture.
Les revues scientifiques transmettent des informations vérifiées qui font avancer la recherche dans de nombreux domaines. Cette évolution des connaissances devient accessible à tous de manière fiable, notamment avec le libre-accès.
Voici quelques éléments qui permettent de reconnaître une revue scientifique :
Plusieurs types de revues existent : les revues professionnelles, les revues scientifiques et les revues vulgarisatrices. Parmi ces revues, certaines appartiennent plutôt au domaine des sciences exactes, tandis que d’autres se rapprochent du domaine des sciences humaines et sociales.
Les revues scientifiques à éviter ne possèdent pas de comité de relecture et l’auteur doit payer pour y être publié. De cette manière, elles peuvent subsister en acceptant un grand nombre d’articles, peu importe leur qualité. Voici quelques critères pour les identifier :
Une société savante est une communauté scientifique spécifique : elle a pour objectif principal de faire progresser l’état de la connaissance. Ses membres se rassemblent autour d’un objet d’étude précis (sciences, lettres, arts, techniques, etc.).
Les sociétés savantes réalisent des activités variées pour diffuser leurs recherches :
Les sociétés savantes peuvent prendre différentes formes en fonction de leur taille, de leurs activités et de leur localisation. Parmi les différents types de sociétés savantes, on retrouve :
Certaines sociétés savantes acceptent de nouveaux membres. Avant tout premier contact avec une société savante ou un comité de lecture, nous vous conseillons de consulter ses travaux : lire ses dernières publications, se rendre à ses colloques, expositions ou séminaires, et adhérer à un abonnement si cela est possible.
La vulgarisation scientifique est une technique de transmission des savoirs qui vise à rendre la science accessible à tous. Les auteurs de vulgarisation scientifique font preuve de pédagogie afin de rendre des informations complexes compréhensibles pour un grand nombre de personnes.
Voici quelques éléments pour mieux les reconnaître parmi les autres types de revues :
Les articles et ouvrages de vulgarisation scientifique peuvent être écrits par plusieurs personnes :
Écrire un article ou un ouvrage de vulgarisation demande un certain savoir-faire. Il faut à la fois maîtriser un sujet, tout étant capable de le transmettre avec pédagogie. Pour pouvoir publier un contenu, plusieurs solutions existent :
La conclusion de l’article scientifique se place après les sections d’introduction, de méthodologie, de résultat et discussion, et avant la bibliographie et les annexes. Si l’article ne suit pas la structure IMRAD, elle se place en dernier, avant la bibliographie et les annexes.
C’est souvent la partie la plus longue à rédiger, car elle détaille et développe de nombreux éléments. Il est conseillé de la diviser en sous-sections afin d’organiser le contenu. Parmi les sous-sections, on retrouve notamment :
C’est une section qui compose l’article scientifique et qui regroupe/explique les résultats obtenus lors des différentes expériences, recherches et tests. Ainsi, elle prépare l’analyse qui répondra à la question de recherche.
La taille de cette section dépend du sujet de l’article, mais fait environ 20 % de la taille de l’article. Plus celui-ci sera fourni en expériences et recherches, plus la section des résultats sera importante.
Cette section arrive après l’introduction et la méthodologie, et avant la discussion et la conclusion (ces deux parties continuent la réflexion en apportant des dimensions plus argumentatives et analytiques aux études menées).
Le terme dépend de la ligne éditoriale des revues scientifiques. Si cela n’est pas précisé dans les consignes de la revue, l’auteur peut décider par lui-même.
Dans la section dédiée aux résultats, un style clair et concis est nécessaire. En effet, cette partie peut être assez complexe car elle contient parfois de nombreuses données.
Les résultats doivent être exposés de manière logique, claire et simple, reliés par des mots de transition et des éléments de ponctuation.
En plus du texte, voici les figures qui permettent de présenter les résultats :
Ces éléments doivent être accompagnés d’un titre précis et d’une légende qui les présente brièvement. Ils sont autonomes et se suffisent à eux-mêmes : il n’est pas nécessaire de les décrire dans le texte.
C’est la dernière section de la structure dite “IMRAD” : elle analyse les données collectées par les études. Pour cela, elle s’appuie sur les résultats présentés dans la section qui la précède.
Dans l’article scientifique, la discussion se place avant la conclusion, et après les étapes d’introduction, de méthodologie et de résultats.
La taille de la section “discussion” est variable, mais fait généralement 20 % à 40 % de l’article. Elle dépend du nombre de résultats et d’informations à analyser. Pour la rendre plus facile à lire, il est possible de la diviser en sous-sections pour organiser son contenu.
La discussion ne possède pas de structure pré-définie. Sa construction dépend des choix de l’auteur et de la revue. Quand l’utilisation de sous-sections est autorisée par la revue, il est possible de les utiliser pour mieux hiérarchiser son contenu. Ces séparations peuvent être de différentes natures :
La conclusion est la dernière étape de l’article scientifique. Elle permet de rappeler brièvement les diverses étapes du contenu, de répondre à la question de recherche et propose parfois une ouverture. De cette manière, elle montre l’avancée amenée par l’article tout en proposant de nouveaux axes de recherches.
La méthodologie est une section qui compose l’article scientifique. Elle est placée juste après l’introduction et précède les résultats et la discussion. Ce n’est pas une partie analytique mais descriptive car elle expose les procédures et conditions de l’étude.
La conclusion de l’article scientifique fait généralement un ou deux paragraphes. Il est important de faire une conclusion synthétique : ni trop longue, ni trop courte.
Les étapes souvent retrouvées dans les conclusions scientifiques sont les suivantes :
La bibliographie est une partie essentielle de l’article scientifique. Elle comporte toutes les références utilisées dans le contenu et permet de reconnaître la contribution d’autres auteurs.
La bibliographie scientifique est placée à la fin de l’article. Elle regroupe ainsi toutes les sources utilisées dans le contenu qui la précède.
La taille de la bibliographie dépend du nombre de sources utilisées pour rédiger l’article. Elle doit être complète et ne pas oublier de source, qu’elle soit citée de manière explicite ou non.
Pour construire la bibliographie, il est conseillé de noter au fur et à mesure chaque source utilisée pour l’article. Ensuite, il est important d’harmoniser leur présentation et de les organiser par importance, nature et ordre alphabétique. Il vous faut également choisir un style de citation et suivre ses règles (APA, Vancouver, Harvard, MLA, …).
Les remerciements sont placés dans une section distincte de l’article scientifique. Ils permettent de remercier les principaux acteurs qui ont aidé ou soutenu l’auteur, mais aussi de rappeler les principales sources de financement.
La section des remerciements se place à la fin de l’article scientifique. Elle regroupe ainsi toutes les références utilisées dans le contenu qui la précède.
La taille de la bibliographie dépend du nombre de sources utilisées pour l’article. Elle doit être entière et n’oublier aucun élément, qu’il soit cité de manière explicite ou non.
Pour construire la section des remerciements, il faut penser à bien l’organiser. Pensez à toutes les personnes que vous voudriez remercier, en prenant soin de positionner les plus “officielles” en premier : professeurs, chercheurs associés, etc. Si cela est possible, pensez aussi à remercier les organismes qui ont contribué financièrement à l’étude.
La signature est un élément important dans tout article scientifique. Elle peut être présente sous différentes formes et présente les auteurs, co-auteurs et sources de financement.
La signature est souvent placée à la fin de l’article scientifique. Elle présente le ou les auteurs ainsi que d’autres informations les concernant (université, laboratoire, etc.).
La taille de la signature dépend du nombre d’auteurs que possède l’article. Aussi, elle dépend de la revue : certaines revues peuvent imposer des signatures plus ou moins longues. Dans tous les cas, la signature ne fait pas plus de quelques lignes.
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